Greenpeace a analysé cette autorisation et les conditions dans lesquelles elle a été accordée et est rapidement arrivé à la conclusion que le Ministre n'aurait jamais dû le faire. Greenpeace reproche principalement l'absence d'une évaluation des incidences sur l'environnement naturel, pourtant prévue dans la loi, en lieu et place de quoi, Sotel s'est limité à présenter une étude d'impact qui ne correspondrait pas, d'après Greenpeace, aux exigences légales.
«Ce chantier traverse deux zones naturelles qui hébergent des habitats sensibles et protégés, ainsi que de nombreuses espèces animales et végétales classées sur liste rouge. Or, Sotel a simplement fait réaliser une «pré-étude» qui ne permet pas d'analyser les incidences directes et indirectes que ce chantier pourrait avoir sur la zone classée. Mais comme il s'agit des intérêts d'Arcelor-Mittal, tout le monde voudrait s'en contenter au détriment de la nature et des règles existantes» précise Roger Spautz.
Communiqués de presse
Luxembourg, 16 décembre 2011. Ce matin, lors du conseil de... Suite >
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