Les chiffres de 2006 de Statistique Canada sur l’alimentation brosse un portrait alarmant des grandes tendences en alimentation… Premièrement, on gaspille enormément de nourriture, environ 1/3 de ce qui entre dans les magazins. Et on ne compte pas ce qui est gaspillé entre les champs et les supermarchés probablement au moins un autre tiers ! Deuxièmenent, on mange trop !… En moyenne, 2439 calories par jours, soit environ ce dont a besoin un homme actif. Attention aux dégats : obésité, diabète, etc. La consommation de boissons gazeuses (plein de sucre ou d’aspartame, de maïs OGM (comme le MON863, le MON810, le NK603, etc.) a doublé depuis 1972 à 110 litres par an. La consommation d’huile et de gras a augmenté de près de 45 % depuis 1960 à 18,9 litres par an. Bien sûr, on consomme plus de fruit (72 kgs par an comparé à 52 kgs en 1960) et plus de céréales (87 kgs par an comparé à 68 kgs) mais peu de céréales diverses (principalement du maïs et du blé). Peu de pois ou fèves. Cette pauvreté dans la diversité alimentaire se traduit dans les champs par des pratiques de monocultures qui sont nuisibles à l’environnement. (Voir les recommandations de Greenpeace au gouvernement fédéral)
Gaspillage, surconsommation et pauvreté alimentaire
Les chiffres de 2006 de Statistique Canada sur l’alimentation brosse un portrait alarmant des grandes tendences en alimentation… Premièrement, on gaspille enormément de nourriture, environ 1/3 de ce qui entre dans les magazins. Et on ne compte pas ce qui est gaspillé entre les champs et les supermarchés probablement au moins un autre tiers ! Deuxièmenent, on mange trop !… En moyenne, 2439 calories par jours, soit environ ce dont a besoin un homme actif. Attention aux dégats : obésité, diabète, etc. La consommation de boissons gazeuses (plein de sucre ou d’aspartame, de maïs OGM (comme le MON863, le MON810, le NK603, etc.) a doublé depuis 1972 à 110 litres par an. La consommation d’huile et de gras a augmenté de près de 45 % depuis 1960 à 18,9 litres par an. Bien sûr, on consomme plus de fruit (72 kgs par an comparé à 52 kgs en 1960) et plus de céréales (87 kgs par an comparé à 68 kgs) mais peu de céréales diverses (principalement du maïs et du blé). Peu de pois ou fèves. Cette pauvreté dans la diversité alimentaire se traduit dans les champs par des pratiques de monocultures qui sont nuisibles à l’environnement. (Voir les recommandations de Greenpeace au gouvernement fédéral)