Le mémoire de Greenpeace se focalise davantage sur les impacts climatiques locaux et globaux du projet GNL Québec. Il aborde également les risques que posent le projet GNL/Gazoduq sur la population des bélugas du Saint-Laurent. Le mémoire contextualise le projet en le comparant aux tendances, études et projections existantes pour le marché des énergies fossiles et celui du gaz spécifiquement.

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Greenpeace considère que le gaz fossile n’est pas une énergie de transition. Les réserves de pétrole et de gaz dans l’œil de mire de l’industrie dépassent le budget carbone restant alors que les énergies renouvelables à faible coût peuvent facilement remplacer le gaz fossile et sa compétition par le gaz naturel liquéfié. Inversement, la construction d’infrastructures gazières supplémentaires entravera la transition énergétique en encourageant la consommation de gaz et nuiera aux énergies renouvelables.

Notre mémoire met l’emphase sur l’importance de faire une évaluation intégrale et globale de toutes les émissions du projet en amont et en aval. De ce point de vue, Greenpeace désapprouve la division du projet de GNL Québec et de Gazoduq en deux projets distincts dans le cadre des évaluations environnementales alors qu’il s’agit d’un seul et même projet. En approuvant et en construisant le terminal, il créera une demande de gaz et garantira pratiquement que le gazoduc sera approuvé et construit et que la production de gaz se développera en amont.

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