Tristan Woodford, Chargée d’engagement des donatrices et donateurs chez Greenpeace et sa famille.

Je viens de reprendre mon poste de Chargée d’engagement des donatrices et donateurs chez Greenpeace, après avoir bénéficié d’un congé parental avec ma plus jeune fille. Pour mon partenaire et moi, ce congé a été une période d’adaptation. Nous avons pris l’habitude de vivre au rythme du nouveau bébé et de notre premier enfant, en observant leur croissance et leur apprentissage avec émerveillement. Nous avons vécu une année remplie de défis, d’enthousiasme et de bonheur. Nous avons entrepris les mêmes démarches que celles effectuées après la naissance de notre aîné. Nous avons ouvert un régime enregistré d’épargne-études, ajouté le bébé à notre plan d’assurance santé, et rédigé une nouvelle version de notre testament.

Et puis la crise de la COVID-19 est arrivée, et tout a basculé! L’inquiétude que nous avons ressentie pour la santé et la sécurité de nos enfants — tout comme celle de nos parents et ami·es — nous a fait prendre conscience de notre mortalité comme jamais auparavant.

Nous avons eu l’occasion de réfléchir au sens de notre vie, à nos valeurs, et au monde que nous souhaitons laisser en héritage. Si quelque chose nous arrivait, nous voudrions que nos enfants soient en bonne santé, qu’ils soient pris en charge par des gens aimants et attentionné·es, qu’ils aient accès à une alimentation saine, à des soins médicaux appropriés, à un logement accueillant et à une éducation de qualité. Nos pensées se sont rapidement tournées vers le type de monde dans lequel ils grandiront et les problèmes que nous devons résoudre collectivement. Lorsque nos enfants seront grands, la planète sera-t-elle encore habitable? Leur existence sera-t-elle menacée par l’insécurité alimentaire et les catastrophes naturelles? Que pouvons-nous faire pour leur assurer un meilleur avenir dès maintenant?

Depuis mon retour chez Greenpeace, je sais qu’un bon nombre de nos adhérent·es ont eu le même type de réflexion existentielle. Mon équipe a eu l’occasion de s’entretenir avec plusieurs personnes souhaitant contribuer à un changement significatif et durable. La COVID-19 a bouleversé le statu quo et remis en question plusieurs choses que nous tenions pour acquises. Nous avons dû prendre une pause pour réfléchir. Nous avons été contraints de réévaluer nos habitudes et nos priorités, et de décider si elles reflètent vraiment ce que nous souhaitons laisser en héritage.

Pour laisser une marque positive au bénéfice de la planète et des générations futures, vous pouvez faire un legs testamentaire aux organisations qui vous tiennent à cœur. C’est ce que moi et mon partenaire avons fait. Après avoir donné à vos proches ce qui leur revient, vous pouvez poser ce geste concret afin de perpétuer vos valeurs et votre vision d’un monde meilleur.

Que le legs testamentaire soit une idée nouvelle ou que vous y songiez depuis longtemps, nous sommes là pour vous aider. Nous avons discuté avec Maureen Tabuchi, une avocate en droit successoral possédant plus de 30 ans d’expérience, pour vous aider à démystifier la rédaction testamentaire et la planification successorale (entrevue en anglais). Plusieurs personnes souhaitent avoir un impact positif à long terme, et cet impact repose sur un testament rédigé dans les règles de l’art.

C’est en unissant nos forces que nous pouvons laisser un monde plus sain et durable aux générations futures.

Avec une détermination et un sens des responsabilités renouvelés,

Tristan Woodford

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