Pour célébrer la Journée internationale des droits des femmes, Greenpeace Canada est fière de mettre en lumière les fxmmes  qui font bouger la machine! Chaque jour, elles vous partageront leurs perspectives sur leurs rôles et leur vécu au sein du mouvement environnemental!

Saviez-vous que l’équipe de Greenpeace Canada est principalement dirigée par des fxmmes*? Oui, madame! 

Pour célébrer la Journée internationale des droits des femmes cette année, nous avons partagé avec vous tout au long de la semaine dernière les histoires, les expériences et les réalisations, variées et enrichissantes, que nos collègues fxmmes ont tenu à partager.  Et aujourd’hui, nous sommes fièr·es de vous présenter toutes celles qui donnent à Greenpeace tout son éclat! (Nous utilisons l’orthographe « Fxmmes » pour reconnaître l’histoire de l’exclusion au sein du mouvement féministe).

Découvrez ce qui nous a toutes amenées chez Greenpeace et au sein du mouvement environnemental de même que ce que chacune d’entre nous aimerait voir changer pour les fxmmes au cours de la prochaine décennie, que ce soit au Canada ou à l’international.

Je vous présente donc, avec beaucoup de fierté, les fxmmes militantes de Greenpeace !

L’équipe des Programmes

Christy est arrivée à l’organisation il y a plus de 15 ans, après avoir fait partie du mouvement pour la paix, pour rejoindre une équipe de personnes créatives et intelligentes qui arborent leurs valeurs et cherchent à faire des changements positifs. Elle aimerait voir la fin des stigmates nuisibles et injustifiés à l’encontre des mères célibataires – en particulier les mères noires et autochtones – et un changement systémique qui les élève et les aide à s’épanouir en tant que force puissante qu’elles sont.
Christy Ferguson, directrice exécutive

Farrah a trouvé sa voie professionnelle en travaillant sur des questions à l’intersection de la justice environnementale et sociale. Elle en a assez de la suprématie blanche et la misogynie systémique dans les organisations à but non lucratif et elle est là pour revendiquer de l’espace et exiger le changement. Farrah Khan, directrice adjointe 

L’indépendance de Greenpeace et sa capacité à affronter le statu quo sont les raisons qui ont amené Laura à rejoindre l’organisation. Elle aimerait que tous ceux et celles qui s’identifient comme fxmmes soient vues et appréciées pour leurs connaissances, leur expérience et leurs contributions.
Laura Kenyon, directrice adjointe des programmes

Alison a rejoint Greenpeace il y a cinq ans, attirée par l’accent mis sur le changement de systèmes pour amener le changement social. Alison est passionnée par le démantèlement de toutes les formes d’oppression et s’efforce d’appliquer une optique de justice à tout ce qu’elle fait.
Alison Mills, assistante du directeur des programmes

Priyanka pense que le droit peut être un outil puissant dans la lutte pour la justice climatique si les communautés sont au centre de celui-ci. Elle est d’avis que le but n’est pas que les fxmmes prennent simplement le pouvoir aux hommes puisque cela ne changerait rien au monde, mais de détruire complètement la notion même de pouvoir.
Priyanka Vittal, avocate

L’équipe des Finances et Ressources Humaines

Marilyn a volontairement rejeté le secteur privé lorsqu’elle a réorienté son parcours professionnel en choisissant de ne travailler que pour des organisations créatives à but non lucratif – comme Greenpeace – apportant son professionnalisme et son haut degré de responsabilité à la mission. Elle aimerait voir un monde d’égalité et de paix.
Marilyn Wigglesworth, directrice des finances et des opérations

Rien ne peut arrêter Pamela. Sa force et sa résilience naturelles la rendent toujours disponible pour aider les autres. Elle est toujours à l’affût du bien-être et de la santé des gens qui l’entourent. Elle a la capacité de vous amener dans un espace où vous pouvez être vous-même et vous sentir mieux.  Ce qu’elle veut: améliorer l’environnement de travail pour les fxmmes chez Greenpeace, et ce dans un esprit de collaboration.
Pamela Murray, spécialiste des ressources humaines

L’équipe de Communications et Relations de presse

C’est l’activisme qui a attiré Laura à rejoindre l’organisation. Elle aimerait voir les fxmmes gagner en indépendance, notamment en étant moins précarisées financièrement, et en étant réellement enrichies par leurs relations.
Laura Bergamo, Conseillère aux communications

Issue du domaine des droits de la personne, Jesse voulait travailler sur les questions de justice à l’échelle mondiale, en commençant par la façon dont le Canada contribue à la crise climatique. Elle aimerait que les fxmmes passent moins de temps à lutter contre leur syndrome de l’imposteur et plus de temps à renforcer le pouvoir des marginalisées.
Jesse Firempong, Conseillère aux communications

Ressentant un urgent besoin de participer activement aux changements qu’elle souhaitait voir se réaliser, Marie-Christine a décidé de rejoindre les rangs de Greenpeace. Elle aimerait voir les fxmmes briser tous les plafonds de verre et ne jamais douter qu’elles ont une valeur, qu’elles sont puissantes et qu’elles méritent TOUTES les occasions de réaliser leurs rêves.
Marie-Christine Fiset, Directrice de l’équipe média

Le besoin d’être plus en phase avec ses propres valeurs et de mettre de l’argent dans les bonnes poches, voilà ce qui a poussé Loujain à prendre l’une des décisions les plus difficiles de sa carrière. Grâce à des matriarches inspirantes et à une famille profondément attachée à la terre, elle a tourné le dos au secteur corporatif mercantile. Elle veut voir les fxmmes prendre plus de place en toute confiance dans tous les milieux de travail : leur place.
Loujain Kurdi,  Conseillère aux communications

Équipe numérique

En tant que féministe, Lydie aime s’informer sur les questions de genre et les signaler à ses proches. Lydie aime particulièrement souligner le féminisme dans une perspective anticolonialiste et anticapitaliste, le tout avec une touche d’humour pince-sans-rire. Devenir mère a ajouté une nouvelle couche d’action climatique à son mélange d’activisme, qui est façonné par l’amour et la rage.
Lydie Padilla, chargée de mobilisation numérique

Passionnée par l’environnement et les océans, Coralie a choisi de quitter une carrière dans le marketing il y a quelques années pour faire ce qui lui tenait le plus à cœur : être au service de Mère Nature.
Coralie Barbier, chargée de mobilisation numérique

Julie est profondément inspirée par toutes les femmes étonnantes qu’elle a rencontrées dans les mouvements sociaux du monde entier. Elle croit au pouvoir de la construction de mouvements pour l’égalité et l’équité à partir de la base. Elle croit également que les fxmmes impliquées dans tous les domaines contribuent à créer un monde plus juste chaque jour, qu’elles soient mères, employées de bureau, avocates, artistes, universitaires ou militantes… Ensemble, le voyage vers l’égalité se poursuit.
Julie Byrnes, responsable de l’équipe digitale

Équipe Nature et Alimentation

Reykia a décidé de travailler en environnement parce qu’elle ne pouvait plus justifier de faire autre chose de sa vie. Elle a choisi Greenpeace parce qu’elle croyait (et croit toujours !) que c’est l’un des rares organismes qui travaillent à un changement véritablement systémique. Reykia veut que notre société cesse d’imposer des normes de genre toxiques aux gens et ce dès la petite enfance – afin que les filles, les garçons et tout le monde puissent devenir les êtres entiers, autonomes et uniques qu’ils et elles sont censé·es être.
Reykia Fick, responsable de la campagne Nature et alimentation

Équipe de Financement

À l’âge de onze ans, Miriam a découvert le réchauffement climatique dans un livre intitulé « The Young Person’s Guide to Saving the Planet » (Guide jeunesse pour sauver la planète).* En tant qu’étudiante vivant en Écosse, elle a mené une campagne avec la Climate Action Society qui a permis à l’université de Glasgow de devenir la première université européenne à s’engager à désinvestir des combustibles fossiles. Elle a également soutenu les campagnes de désinvestissement des étudiants à travers le Royaume-Uni avec People & Planet et, lorsqu’elle s’est installée au Canada, son rêve d’enfant est devenu réalité : on lui a proposé un rôle dans l’équipe numérique de Greenpeace! Elle aimerait que justice soit faite pour les fxmmes et les filles autochtones disparues et assassinées – et que cesse la violence sexiste.
Miriam Wilson, responsable de la collecte de fonds et de l’engagement numérique

Alors qu’elle étudiait l’archéologie à l’université, Stéphanie a commencé à réfléchir à l’impact environnemental de notre société. Elle a alors fait une transition vers une orientation plus environnementale qui a abouti à un master en études environnementales. Pendant cette période, elle a fait un stage à la Fédération canadienne de la faune, à Greenpeace Canada et à la section ontarienne du Sierra Club. Elle s’est jointe une deuxième fois à Greenpeace en tant qu’assistante de campagne pour la campagne Océans et Plastiques, puis a effectué une transition vers son rôle actuel au sein de l’équipe de collecte de fonds. Que veut-elle ? Voir le patriarcat tomber, le féminisme intersectionnel prospérer et la violence sexiste prendre fin.
Stephanie Hulse, responsable des dons annuels

La mère d’Annick l’a initiée aux questions environnementales et aux idées de consommation réfléchie dès son plus jeune âge, car c’est quelque chose qui la passionnait. À l’adolescence, elle s’est beaucoup préoccupée des changements climatiques et, depuis, elle étudie, fait du bénévolat et travaille sur des questions environnementales. Elle aimerait voir une plus grande intersectionnalité dans le féminisme, et voir toutes les fxmmes se soutenir pour prendre plus de place, leur place.
Annick Colbert, analyste de données

Lorsqu’elle vivait à Vancouver, Mona était active dans le mouvement pour la paix et le désarmement. En fait, elle a d’abord rejoint Greenpeace en tant que donatrice par l’intermédiaire d’un ami qui avait un emploi d’été de démarchage en porte à porte ! Après avoir déménagé à Toronto, elle a été ravie d’être engagée par Greenpeace. Pour l’avenir, elle aimerait voir la fin de la violence à l’égard des fxmmes.
Mona Coulavin, responsable des données et de l’analyse

Claire a été attirée par Greenpeace et par le mouvement environnemental par intérêt pour la justice intergénérationnelle : ce que les personnes vivant aujourd’hui doivent aux générations passées, présentes et futures. Elle aime le concept de durabilité « sept générations » – souvent attribué aux Iroquois – selon lequel les communautés agissent comme gardiennes des ressources collectives, en pensant aux « sept générations » à venir. Claire croit en un avenir sans exploitation sexuelle et dans lequel il y aura moins d’obstacles à l’éducation. Elle admire tous ceux et celles qui font le bien par eux-mêmes et le bien par les autres, même quand ils sont seuls, même quand c’est difficile.
Claire W., Collecte de fonds numérique 

Équipe de Mobilisation et Action

Claude a suivi des parcours très différents, de la construction d’avions aux études en coopération internationale en passant par le travail en Afrique de l’Ouest, mais son cœur a toujours été attiré par la nature et l’urgence de la protéger. Elle aimerait voir les fxmmes du monde entier participer à la création d’un monde meilleur, avec des droits et des chances égaux.
Claude Beauséjour, coordinatrice des action

Ce sont les gens, la passion et les formes créatives de résistance qui ont amené Aspa dans le mouvement et chez Greenpeace. Elle espère voir plus de mères, de filles, de grands-mères, de sœurs et de tantes unir collectivement leur pouvoir pour un monde meilleur.
Aspa Tzaras, coordinatrice des groupes locaux

Des actions audacieuses et des campagnes ambitieuses pour la justice climatique ont inspiré Isabelle à rejoindre Greenpeace. Elle souhaite que les fxmmes soient libérées du sexisme, de l’exploitation sexuelle, de la violence et de l’oppression. Libres de poursuivre leurs rêves, de penser et d’agir en dehors des sentiers battus et d’avoir confiance en leur pouvoir de changer le monde pour le mieux.
Isabelle L’Héritier, responsable de la campagne de mobilisation

Équipe de soutien aux adhérent·es et d’engagement

Marie a été étonnée par les campagnes de Greenpeace Canada, plus particulièrement la campagne plastique qu’elle a suivie en 2017 avant de rejoindre l’organisation. Après avoir eu la chance de se joindre à l’équipe, elle a pu mieux comprendre la bataille dans laquelle l’organisation était engagée: la justice sociale afin de garantir l’équité à travers les communautés. Marie est impatiente de voir la fin des injustices raciales à l’égard des fxmmes noires.
Marie Sullie Dolin, Service aux adhérent·es

Inspirée à l’adolescence par les histoires empreintes de courage que partageaient des activistes de Greenpeace dans son salon, Jackie a sauté sur l’occasion des années plus tard lorsqu’on lui a demandé de postuler pour un rôle dans l’équipe d’engagement et de fidélisation ! Jackie est une défenseure de la justice sociale et des droits des fxmmes. Elle a siégé au conseil d’administration de December 6th Fund, une organisation qui permet aux femmes et à leurs enfants de fuir la violence domestique en leur accordant des microcrédits. Jackie souhaite que le cycle de la violence à l’égard des fxmmes soit brisé de son vivant.
Jackie Gallagher, Responsable de l’équipe d’engagement et de fidélisation

Sa passion pour l’environnement et son activisme créatif ont amené Sydney à Greenpeace ! Tout a vraiment commencé avec son expérience comme conseillère et coordonnatrice des programmes dans un camp où elle trouvait toujours de nouvelles façons d’enthousiasmer les enfants pour l’exploration et la conservation de l’environnement. Elle a commencé à travailler pour cette organisation en tant que stagiaire en prospection de rue, et la première campagne pour laquelle elle a collecté des fonds a été Greenpeace ! Elle aimerait qu’au cours de la prochaine décennie se poursuive et s’amplifie l’activisme environnemental mené par les jeunes et la mise en valeur des jeunes filles dans et par l’éducation.
Sydney Smith, Service aux adhérent·es

Tristan a rejoint le mouvement grâce à sa passion pour les droits de la personne et en raison de sa frustration face à la façon dont les personnes les plus vulnérables (et principalement les femmes) sont plus touchées par les changements climatiques et la cupidité des entreprises. Elle a eu la chance de rejoindre l’équipe de collecte de fonds de Greenpeace Nouvelle-Zélande pendant un an et, après son retour en Alberta, elle a été ravie qu’un poste similaire soit ouvert à Greenpeace Canada ! Tristan aimerait voir la fin des taux disproportionnés de violence envers les fxmmes et les filles autochtones et les personnes 2SLGBTQ au Canada. Tristan Woodford, Chargée de l’engagement et de la fidélisation