ENSEMBLE, NOUS SOMMES INARRÊTABLES

Depuis nos origines, la navigation fait partie intégrante de notre association. La flotte de Greenpeace compte désormais trois navires d’exception au service de tous nos bureaux : le Rainbow Warrior troisième du nom, l’Arctic Sunrise et le Witness. Taillés pour l’action, équipés pour mener des expéditions scientifiques de pointe, ces bateaux sont bâtis pour supporter toutes les conditions de navigation.

De l’Arctique à l’embouchure de l’Amazone, de la mer des Sargasses aux fjords norvégiens, la flotte arc-en-ciel, unique au monde, demeure l’un de nos outils les plus puissants pour défendre le vivant.

Grâce à nos donatrices et donateurs, nous agissons partout dans le monde, à travers un réseau de 27 bureaux dans 56 pays pour :

  • enquêter, analyser, dénicher les scandales,
  • dialoguer, proposer des solutions,
  • dénoncer, informer, sensibiliser,
  • passer à l’action,
  • maintenir la pression.

Pour garder une entière liberté de parole et d’action en tous lieux et en toutes circonstances, Greenpeace refuse les subventions publiques et les dons d’entreprises.

Cette indépendance financière est notre plus grande force car elle nous permet de programmer nos campagnes et mener des actions urgentes.

Mais c’est aussi notre plus grande vulnérabilité : en 2024, nous avons rencontré une baisse de 8% du nombre de nos soutiens, impactant directement nos actions.

Amazonia Travelling Letters in Luxembourg. © Lara D''Antonio / Greenpeace

Stoppons
la déforestation

Cette année, la COP s’est tenue à Belém, en Amazonie. Elle a été l’occasion pour Greenpeace de rappeler combien la lutte contre la déforestation et celle contre le dérèglement climatique sont intimement liées.
En 2026, nous continuerons de nous mobiliser pour accélérer la mise en application stricte du règlement européen sur la déforestation importée, et à dénoncer le traité UE-Mercosur et les conséquences des actions de JBS, géant de l’agroalimentaire présent au Luxembourg, qui menace de plus en plus l’Amazonie.

Protégeons la biodiversité et la lutte contre le pillage des océans

La protection de la biodiversité et la lutte contre le pillage des océans restent une de nos priorités.

En 2026, nous mobiliserons tous les leviers à notre disposition pour accélérer la mise en application du traité sur la haute mer, que nous avons obtenue après 20 ans de campagne, grâce à la mobilisation citoyenne et à nos donateurs et donatrices.

Boulders Placement to Prevent Bottom Trawling in the Gulf of Lion. © Lorraine Turci / Greenpeace
Anti-SLAPP Action in Luxembourg. © Lara D''Antonio / Greenpeace

Faisons entendre nos voix pour le climat

En 2025, l’avis consultatif de la Cour internationale de Justice a confirmé que les droits humains protègent aussi les personnes contre les impacts du réchauffement climatique.

De fait, les États ont la responsabilité de mener des politiques climatiques efficaces.

En 2026, Greenpeace veillera à ce que l’État luxembourgeois agisse sans délai pour prévenir des dommages climatiques.

Faisons face aux entreprises climaticides et aux procédures baillon

En mars 2025, la compagnie pétrolière Energy Transfer a réclamé 660 millions de dollars de dommages-intérêts à Greenpeace International et Greenpeace États-Unis pour avoir soutenu pacifiquement des communautés autochtones impactées par un projet d’oléoduc.

En 2026, grâce à la mobilisation massive de la société civile et aux donateurs et donatrices de Greenpeace, nous poursuivrons la contre-offensive judiciaire contre Energy Transfer, avec l’appel de cette décision par Greenpeace aux Etats-Unis et, le recours lancé par Greenpeace International aux Pays-Bas.

Il s’agit du tout premier recours jamais déposé sur la base de la nouvelle directive européenne anti procédures-baillons. Nous resterons inébranlables face à leurs attaques !

Free Speech Ad Truck Message in Washington D.C. © Tim Aubry / Greenpeace
Anti Nuclear Demonstration in Cattenom, Luxembourg. ©

Accélérons la transition énergétique

Cette année, en dépit de tout bon sens économique, industriel et environnemental et sans considération pour les pays voisins comme le Luxembourg, la France a persisté dans sa volonté de relance de l’industrie nucléaire.

En 2026, nous continuerons à combattre avec force cette fausse solution et nous nous opposerons à une prolongation de la durée de vie des réacteurs au-delà de 40 ans.

J’agis avec Greenpeace
avant le 31 décembre