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Greenpeace Afrique regrette la disparition tragique d’embarcations de migrants à destination de l’Espagne et souligne l’impact de l’exploitation néo-coloniale des ressources africaines
Greenpeace Afrique exprime sa profonde tristesse et son indignation suite à la disparition de bateaux partis du Sénégal.
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La mangrove: Écosystème indispensable pour la régénération des ressources halieutiques
Environ 250 pêcheurs artisanaux, mareyeurs et femmes transformatrices, venus de Joal, Mbour, Ngaparou, Saly, Guéréo, Popenguine et Cayar se sont associés pour sauvegarder leurs moyens de subsistance.
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Journée Mondiale de l’Océan 2023 : Des Sénégalais s’associent pour reboiser les mangroves, dénoncer la surpêche et prendre leur destin en main.
Lors d'une série d'événements organisés, hier 8 Juin, à l'occasion de la Journée mondiale des océans à Joal, au Sénégal, des communautés de pêcheurs et des membres de la société civile ont démontré que seules des actions concrètes sur le terrain pouvaient contribuer à restaurer les stocks de poissons.
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Greenpeace Afrique aux côtés des communautés
Le Conseil d’Administration de Greenpeace Afrique était aux côtés des communautés et militants de Bargny, ville située à 30 km de Dakar au Sénégal. Bargny étouffe et risque l'implosion du fait des menaces environnementales.
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Différend entre pêcheurs de Kayar et Mboro : Greenpeace Afrique appelle au calme et invite les autorités à une gestion pérenne des pêcheries
À la suite des altercations violentes entre pêcheurs de Kayar et de Mboro, dans la soirée du samedi 1er au dimanche 02 avril 2023 à hauteur de Khondio, Greenpeace Afrique regrette qu’ils en arrivent là et appelle au calme tous les acteurs impliqués dans ce différend.
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Interdiction temporaire d’exportation de poisson en Guinée : Greenpeace Afrique salue la mesure et demande des mesures durables
Greenpeace Afrique salue la mesure des autorités guinéennes d’interdir l’exportation de poisson sous toutes ses formes, sous peine de sanction ; et les encourage à renforcer cette décision avec des mesures durables.
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Absence de statut légal et présence d’usines de farine et d’huile de poisson : un paradoxe qui hante les femmes transformatrices
Faute de ressources, au Sénégal, les femmes transformatrices des produits halieutiques rencontrent d’énormes difficultés. La présence des usines de farine de poisson exacerbe ce problème. Autrefois, ces femmes tenaient les charges familiales avec leurs revenus. Ce qui n’est plus possible aujourd’hui.
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Greenpeace Afrique se joint aux milliers de femmes transformatrices du Sénégal pour réclamer la consécration de leur statut juridique 10 ans après que les autorités aient promis cette réforme.
Alors que le monde célèbre aujourd’hui, la journée internationale des femmes, au Sénégal, des milliers de femmes transformatrices de produits halieutiques luttent encore pour la reconnaissance de leur activité professionnelle.
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Les super riches profitent de la flambée des prix des denrées alimentaires en Afrique – et ils contrôlent le système alimentaire qui garantit cette situation.
Des chiffres inédits de Sika Finance ont été révélés aujourd'hui par Greenpeace, montrant qu'en 2020, les importations alimentaires représentaient 19,2% (773,1 milliards de francs CFA) des achats de marchandises générales du Sénégal, malgré les énormes ressources halieutiques et la capacité agricole du Sénégal.
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Taxawu Cayar lance une nouvelle phase de contestation juridique contre l’usine de farine de poisson polluante après une percée majeure
Prenant acte de l’arrêté municipal portant interdiction de déversement d’eaux usées dans la décharge municipale, le lac de Mbawane et ses environnants, Greenpeace Afrique se joint au collectif Taxawu Cayar pour magnifier une décision courageuse et utile pour la préservation du bien-être des populations et la biodiversité du lac en question.