Notre pays est complètement bouché. Les kilomètres d’embouteillages s’enfilent et le nombre de voitures sur nos routes ne cesse d’augmenter. C’est sûr, notre modèle de mobilité n’est pas compatible avec l’utopie d’un air sain. Un quart des émissions de CO2 provient tout droit de nos pots d’échappement, et ce chiffre ne baisse pas. Si nous ne changeons pas radicalement nos modes de pensée et de déplacement, nous pouvons tirer une croix sur nos ambitions du sommet sur le climat à Paris, qui visaient à limiter le réchauffement mondial à 1,5°.
Notre modèle de mobilité cause pas mal de problèmes. Nos voitures polluent l’air, provoquant toutes sortes de soucis de santé, des complications respiratoires aux affections cardiaques, jusqu’à des décès prématurés. Les véhicules diesel sont responsables de l’émission de dioxyde d’azote, un gaz qui irrite les voies respiratoires, en particulier celles des jeunes enfants.
La solution ? Une nouvelle mobilité. Les rues doivent redevenir le terrain des gens, et pas des voitures. Nous devons circuler bien plus souvent à pied, à vélo ou en bus. Par ailleurs, il est grand temps de passer de véhicules privés remplis de combustibles fossiles à de plus petits véhicules électriques à partager. Et fonctionnant à l’énergie renouvelable, bien entendu.