« C’est une excellente nouvelle. C’est en partie le fruit du travail acharné des citoyen·nes et des organisations environnementales qui ont mis en lumière la pollution par les PFAS dans notre pays”, déclare Carine Thibaut, porte-parole de Greenpeace Belgique. “Le scandale qui a éclaté a sans aucun doute donné une impulsion supplémentaire à 3M ».

« Mais cela n’exonère évidemment pas 3M de sa responsabilité et de son obligation de réparer les dommages que sa production de PFAS a déjà causés et continue à causer, notamment dans notre pays, et qui doivent être nettoyés. L’entreprise ne reconnaît toujours pas officiellement sa responsabilité dans cette affaire, pas même dans son annonce de l’arrêt de toute production de PFAS. L’entreprise doit également prendre ses responsabilités vis-à-vis de l’impact de cette décision sur l’avenir de ses travailleuses et travailleurs. »