Le nouveau court-métrage animé pour ouvrir les yeux du monde à la destruction de la forêt tropicale
“Y’a un monstre dans ma cuisine. Il n’a aucune discipline !”
Il y a un monstre dans ma cuisine raconte l’histoire d’un jeune garçon qui apprend la dure réalité de la déforestation en Amazonie grâce à un jaguar nommé Jag-wah. Aux côtés de Jag-Wah, le jeune garçon explore la face cachée de la production de viande industrielle, qui contribue à la destruction de précieuses forêts, et se promet de mobiliser les gens pour combattre les monstres.
Une superficie presque aussi vaste que le Royaume-Uni a été détruite au Brésil cette année [1]. Cette dévastation est une catastrophe pour les peuples autochtones qui tentent de protéger leurs terres. Elle compromet également la survie d’espèces sauvages telles que le jaguar [2].
Mais au lieu de s’élever contre la destruction de l’Amazonie, le gouvernement canadien se prépare à la récompenser. S’il est adopté, l’accord de libre-échange Canada-Mercosur pourrait augmenter de façon exponentielle les importations de viande en provenance du Brésil – et justifier le recul continu du gouvernement brésilien en matière d’environnement et de droits humains [3].
Nous ne pouvons pas laisser une telle situation se produire.
Il y a un monstre dans ma cuisine est un court-métrage puissant, qui peut nous aider à ouvrir les yeux des gens quant aux causes de la destruction de l’Amazonie et inciter davantage de monde à agir.
Ce film a été créé par l’agence créative Mother et a été produit par Cartoon Saloon, qui a reçu quatre nominations aux Oscars. Le film est la suite du succès viral Rang-Tan.
“T’inquiète pas monsieur jaguar, maintenant y’a plus d’lézard ! Ce monstre n’a qu’à bien se tenir : on va le faire déguerpir !”
- Selon les données de l’Institut national de recherches spatiales du Brésil (INPE)
- Mongabay, septembre 2020, ‘For the Pantanal’s jaguars, fires bring ‘death by a thousand needle wounds’
- La Presse canadienne, septembre 2020, ‘Destruction de l’Amazonie : Ottawa appelé à abandonner les négociations commerciales’


